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    J'aime énormément ce morceau et j'ai pris beaucoup de plaisir à l'apprendre.

    La main gauche joue la mélodie, la main droite doit se faire assez douce pour ne pas étouffer la main gauche.

    La difficulté est de jouer doucement mais pas trop quand même.....il faut aussi que cela soit audible !!!arf

    L'idée, bien sur, est d'interpréter ce prélude avec sentiment, ce que j'ai essayé de faire, et pour cela j'ai mémorisé la partition.

    Bonne écoute smile

     

    HISTOIRE

    J'ai fait quelques recherches sur l'histoire de ce prélude.

    J'ai trouvé un article très intéressant sur  ce site  www.coindumusicien.com/ , j'ai fait un copié collé du début de l'article.

    Voici  le lien si vous voulez en savoir plus sur chaque prélude  :  COIN DU MUSICIEN

    Les 24 préludes : analyse

    Ils ont été composés approximativement entre 1836 et 1839 et pour l'essentiel, avant l'arrivée à Majorque . Ce qui peut surprendre à la première écoute, c'est la très grande brièveté de la plupart d'entre eux : la moitié n'excède pas la minute, certains n'atteignant même pas 30 secondes. C'est tout simplement qu'en quelques mesures, ces préludes ont tout dit, sorte d'instantanés musicaux où règne le demi-mot. Et quand d'un prélude surgit un thème, Chopin prend bien garde de le délimiter et de ne pas le développer. Parfois même, le thème est tout bonnement absent.

    Ce qui apparaît, par contre, de manière très claire, c'est l'univers complet que forment 
    ces 24 préludes, et ce, pour plusieurs raisons.

    Il suffit, pour s'en convaincre, d'examiner les tonalités successives : 
    chaque prélude en tonalité majeure est suivie d'un prélude dans la tonalité mineure correspondante (voir " théorie " dans " le coin du musicien ") et  ainsi, partant de ut majeur (aucune altération), on escalade d'abord tous les dièses un par un. Les 6 dièses atteints (prélude 13), ce sont les bémols qui suivent (prélude 14 avec 6 bémols), en en perdant un à chaque fois jusqu'à la tonalité ré mineur du prélude 24 (un seul bémol).

    Et c'est cet enchaînement de " tons voisins " qui crée avant tout la cohésion de l'œuvre rendant tous ces préludes indissociables les uns des autres.

    Mais ce n'est pas tout : d'un prélude à l'autre, c'est tout le monde musical de Chopin qu'on traverse, non pas que ses œuvres nous imposent des images précises, mais plutôt parce qu'elles nous permettent de pénétrer dans les pensées intimes de leur auteur.

    On peut même dire qu'on y retrouve sous une forme concentrée des nocturnes, ballades, scherzos, études ou mazurkas.

     

     

     Voici les 24 préludes 

     

     


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